Étant donné que les patients atteints d’un infarctus cérébral restent alités pendant une longue période, ils sont très susceptibles de développer des complications telles qu’une infection pulmonaire. Les soins aux patients victimes d’un infarctus cérébral doivent se concentrer sur la prévention des infections pulmonaires, car une fois qu’une infection survient, elle représente un grand danger pour le patient. Si un patient victime d'un infarctus cérébral présente des symptômes d'infection pulmonaire, il doit être envoyé à l'hôpital pour être traité à temps. Des antibiotiques sont généralement utilisés pour traiter l'infection. Le contrôle de l'infection n'entraînera pas la mort du patient. Combien de temps peut-on vivre avec un infarctus cérébral et une infection pulmonaire ? La durée de survie d'un patient atteint d'un infarctus cérébral et d'une infection pulmonaire doit être déterminée en fonction de son état de santé. Si le patient suit un traitement scientifique à temps et que son état n'est pas grave, une fois l'infection contrôlée, il ne risque pas de mourir, alors ne vous inquiétez pas trop. Cependant, certains patients ratent souvent le meilleur moment pour se faire soigner et finissent par mourir d'une infection pulmonaire. Pour des raisons de santé personnelle, ils doivent se rendre dans un hôpital professionnel pour se faire soigner et ne jamais tarder. Que faire en cas d'infarctus cérébral et d'infection pulmonaire Les patients souffrant d'infarctus cérébral et d'infection pulmonaire doivent utiliser des antibiotiques sensibles capables de tuer efficacement les agents pathogènes. Si l'état du patient est très grave, des glucocorticoïdes peuvent être envisagés, mais la dose du médicament doit être réduite une fois l'état du patient amélioré. En outre, les patients doivent recevoir des médicaments hypolipémiants, hypotenseurs et hypoglycémiants pour améliorer diverses maladies sous-jacentes. Il est nécessaire d'utiliser des médicaments anti-inflammatoires pour éviter que l'état du corps ne s'aggrave de plus en plus. Afin d'améliorer les symptômes du patient tels que les étourdissements et la fatigue, des médicaments vasodilatateurs sont également nécessaires, tels que l'injection de Danshen, etc. Ce médicament combiné peut aider le patient à se rétablir le plus rapidement possible. Après sa sortie de l'hôpital, le patient doit continuer à faire activement des exercices de rééducation afin de pouvoir rétablir ses fonctions physiologiques normales. Quels sont les symptômes de l’infarctus cérébral ? Symptômes courants : hémiplégie, hémi-engourdissement (perte de sensation), hémianopsie homonyme, aphasie, apraxie 1. La maladie débute soudainement, souvent au niveau d’un membre supérieur, puis en quelques heures ou un ou deux jours, les symptômes du dysfonctionnement neurologique affectent progressivement d’autres parties du membre de ce côté. 2. La plupart des cas ne s'accompagnent pas de symptômes d'hypertension intracrânienne tels que maux de tête et vomissements. Un œdème cérébral secondaire qui survient quelques jours après l'occlusion des artères plus grosses peut aggraver les symptômes et entraîner une altération de la conscience. Un œdème cérébral grave peut également entraîner un risque d'engagement cérébral mortel. 3. Artère cérébrale moyenne et ses branches perforantes profondes : Les zones les plus vulnérables sont l'hémiplégie controlatérale (degré sévère), l'hémiplégie (perte de sensibilité), l'hémianopsie homonyme et l'aphasie lorsque l'hémisphère dominant (généralement le gauche) est atteint. L'apraxie survient lorsque l'hémisphère non dominant est atteint. 4. Artère carotide interne : elle peut provoquer une cécité de l'œil homolatéral. Les autres symptômes sont souvent difficiles à distinguer de ceux qui surviennent après l'occlusion de l'artère cérébrale moyenne et de ses branches perforantes profondes. 5. Artère cérébrale antérieure : peu fréquente, un côté peut provoquer une hémiplégie controlatérale (sévère aux membres inférieurs, légère aux membres supérieurs), un fort réflexe de préhension et une incontinence urinaire. L’atteinte bilatérale peut provoquer une apathie, une confusion et parfois un mutisme et une paraplégie spastique. 6. Artère cérébrale postérieure : Il peut y avoir une hémianopsie homonyme, une perte hémisensorielle controlatérale, une douleur thalamique spontanée ou des hémiconvulsions involontaires soudaines ; une alexie peut être observée lorsque l'hémisphère dominant est affecté. 7. Artère vertébro-basilaire : paralysie des mouvements oculaires, anomalies pupillaires, tétraplégie, difficulté à manger et à avaler, altération de la conscience et même décès. |
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