Facteurs affectant la résilience

Il y a beaucoup de choses dans la vie que les gens ne comprennent pas dans leur vie quotidienne. Par exemple, la ténacité fait référence au rebond d’un corps végétal lorsqu’il est comprimé par une force externe en physique. La reconnaissance est divisée en résilience logistique et résilience psychologique, ce qui est une chose relativement compliquée. De nombreux facteurs influent sur la résilience, mais je me concentre généralement sur la résilience psychologique, c’est-à-dire la mesure dans laquelle une personne peut endurer. Les facteurs les plus courants qui influencent la psychologie sont des facteurs personnels. Facteurs environnementaux, voici maintenant des descriptions détaillées de ces choses

La résilience, en anglais, est à l'origine un concept de physique qui fait référence au rebond d'un objet lorsqu'il est comprimé par une force externe. On l’étend pour désigner le phénomène selon lequel les individus s’adaptent et se développent bien face à des menaces graves. Il n’existe pas encore de définition unifiée du concept de résilience psychologique dans la communauté universitaire. Il existe actuellement trois définitions principales : la définition du résultat, la définition du processus et la définition de la qualité.

Définition de la source

L'étude de la résilience psychologique a commencé aux États-Unis, mais les chercheurs de divers pays ne sont pas encore parvenus à un consensus sur le concept de résilience au sens scientifique du terme. La manière dont ce terme est traduit en chinois a également suscité de nombreuses controverses. Les universitaires taïwanais l'ont traduit par « résilience », les universitaires de Hong Kong l'ont traduit par « résilience », les universitaires du continent l'ont traduit par « élasticité psychologique », « résilience », « résilience à la pression » et « résilience ». Les infirmières coréennes l'ont traduit par « résilience », « pouvoir de surmonter », « élasticité », « ténacité », etc.

Il n’existe pas encore de compréhension unifiée du concept de résilience psychologique dans la communauté universitaire. Il existe actuellement trois définitions principales : la définition du résultat, la définition du processus et la définition de la qualité : 1. La définition du résultat se concentre sur la définition de la résilience psychologique du point de vue des résultats de développement. Par exemple, la résilience psychologique est un type de phénomène caractérisé par le fait que face à de graves menaces, les individus s’adaptent et se développent malgré tout bien. 2. La définition du processus considère la résilience psychologique comme un processus dynamique de développement et de changement. Par exemple, la résilience psychologique est un processus dynamique permettant aux individus de s'adapter efficacement à des environnements dangereux ; la résilience psychologique fait référence à une série de capacités et de caractéristiques qui interagissent de manière dynamique pour permettre aux individus de récupérer rapidement et de faire face avec succès lorsqu'ils sont soumis à un stress et à un danger majeurs. 3. La définition qualitative considère la résilience psychologique comme une capacité ou une qualité d'un individu, c'est-à-dire une caractéristique qu'il possède. Par exemple, la résilience psychologique est la capacité d'un individu à résister à des niveaux élevés de changements destructeurs tout en affichant le moins de mauvais comportement possible ; la résilience psychologique est la capacité d'un individu à se remettre d'expériences négatives et à s'adapter avec souplesse à un environnement extérieur changeant. [1]

Facteurs d'influence

Premièrement, les facteurs de personnalité. Désigne les facteurs caractéristiques d’un individu qui l’aident à surmonter l’adversité et à se développer positivement.

Deuxièmement, les facteurs environnementaux. Les facteurs environnementaux comprennent des facteurs positifs provenant de la société dans son ensemble, tels que la famille, l’école et la communauté. Le premier facteur est celui de l’environnement familial. En tant que premier et plus important lieu de croissance individuelle, l’environnement et l’atmosphère familiale sont des facteurs importants affectant la résilience. Le deuxième facteur est celui de l’environnement scolaire. L’atmosphère scolaire est également un facteur important affectant la pression des balles. Une atmosphère scolaire positive, un sentiment d’appartenance à l’école, de bonnes relations entre pairs, etc. sont très importants pour cultiver la résistance au stress.

Le troisième facteur est l’environnement communautaire. L’environnement communautaire est également considéré comme ayant une influence très importante sur le développement de la lutte contre les bombes. On pense généralement que les enfants qui grandissent dans des communautés pauvres sont plus susceptibles d’avoir des résultats d’adaptation négatifs que ceux qui grandissent dans des communautés plus aisées.

Paradigme de recherche

1. Paradigme centré sur les variables

La recherche centrée sur les variables vise principalement à examiner la relation entre les variables. Sur la base de recherches existantes, Masten a résumé trois types de modèles de relation entre les variables, à savoir le modèle de relation directe, le modèle de relation indirecte et le modèle de relation interactive.

2. Paradigme centré sur le participant

La recherche centrée sur le participant se concentre sur la personne dans son ensemble plutôt que sur des variables, en essayant de clarifier les modèles structurels de résilience psychologique dans des situations naturelles, un peu comme le système de classification en psychiatrie qui organise divers symptômes dans un modèle de troubles mentaux. La plupart des études centrées sur un sujet tentent d’identifier les personnes présentant de bons et de mauvais modèles d’adaptation dans des environnements de vie à haut et à faible risque à travers de multiples critères, examinant ainsi quels facteurs conduisent à différents résultats d’adaptation. La recherche classique centrée sur le sujet sur la résilience est menée en comparant des groupes de sujets bien adaptés et mal adaptés dans le même environnement dangereux.

Outils de mesure

Échelle de résilience

Les scientifiques en soins infirmiers Wagnild et Young [15] ont interrogé des femmes qui avaient réussi à surmonter des obstacles majeurs et ont développé l'échelle de résilience, qui est l'échelle la plus ancienne et la plus largement utilisée. L'échelle comprend des indicateurs émotionnels et cognitifs, tels que les capacités personnelles (indépendance, confiance en soi, détermination, stratégie, patience, sens du contrôle, persévérance, etc.), l'acceptation de soi et de la vie (y compris l'adaptabilité, la flexibilité, l'équilibre), etc. L'échelle de résilience de l'ego (ER89) élaborée par Block et Kremen[16] a également été élaborée à partir d'un échantillon d'adultes. Elle se compose de 14 éléments autodéclarés, notés à quatre niveaux. Chaque élément porte sur certains aspects de la personnalité. Elle est populaire en raison de sa simplicité et de son petit nombre de questions.

Échelle de résilience pour les enfants atteints de maladies chroniques

L'infirmière coréenne Kim, DH[17] a développé une échelle de résilience pour les enfants atteints de maladies chroniques basée sur le cadre organisationnel de résilience de Mandelco & Peery[18]. Kim, DH a développé et validé la fiabilité et la validité de l'échelle à travers des entretiens avec 202 enfants atteints de maladies chroniques et leurs mères et une consultation d'experts. Cette échelle comporte 32 items, dont 10 items sur les caractéristiques intrinsèques individuelles, 12 items sur les styles d'adaptation et 10 items sur les relations interpersonnelles. Elle est notée sur quatre niveaux. Chaque item est simple et clair, adapté aux caractéristiques des enfants et reconnu par la communauté infirmière.

Échelle de résilience des jeunes en bonne santé

Sur la base de leur conception théorique de la résilience, Constantine et al. [19] ont développé un questionnaire d’évaluation de la résilience des adolescents en bonne santé, qui comprend 60 éléments et 19 dimensions, et divise la résilience en facteurs de protection externes et facteurs de protection internes. Parmi eux, les facteurs de protection externes existent dans la famille, l’école et les groupes de pairs, tandis que les facteurs de protection internes font référence aux caractéristiques individuelles.