En parlant de tests d'hormones sexuelles, je pense que tout le monde ne le sait pas encore, mais en fait, il y a pas mal de personnes qui font ce test dans la vie quotidienne, comme les problèmes endocriniens, les menstruations irrégulières chez les femmes, la puberté précoce chez les femmes et les hommes, etc. Le contenu de ce test est le même pour les hommes et les femmes. Les six éléments du test d'hormones sexuelles peuvent être utilisés pour analyser et juger les problèmes du corps. Alors, quels sont les six éléments de ce test sanguin ? Découvrons-le ensemble ci-dessous. Vérifier le contenu : 1. Testostérone (T) : 50 % de la testostérone chez la femme est convertie à partir de l'androstènedione périphérique, environ 25 % est sécrétée par le cortex surrénalien et seulement 25 % provient des ovaires. La fonction principale est de favoriser le développement du clitoris, des lèvres et du mont du pubis. Il a un effet antagoniste sur les œstrogènes et a un certain impact sur le métabolisme systémique. La concentration normale de T dans le sang féminin est de 0,7 à 3,1 nmol/L. Des taux élevés de T dans le sang sont appelés hypertestostérone, ce qui peut provoquer l’infertilité. En cas de syndrome des ovaires polykystiques, la valeur de T dans le sang augmente également. En fonction des manifestations cliniques, d’autres hormones peuvent être mesurées si nécessaire. 2. Estradiol (E2) : Sécrété par les follicules ovariens, sa fonction principale est de favoriser la transition de l'endomètre vers la phase proliférative et de favoriser le développement des caractères sexuels secondaires féminins. La concentration sanguine d'E2 est de 48 à 521 pmol/L en période préovulatoire, de 70 à 1835 pmol/L en période ovulatoire et de 272 à 793 pmol/L en période postovulatoire. Des valeurs faibles sont observées en cas de dysfonctionnement ovarien, d'insuffisance ovarienne prématurée et de syndrome de Sheehan. 3. Progestérone (P) : Sécrétée par le corps jaune de l'ovaire, sa fonction principale est de favoriser la transition de l'endomètre de la phase proliférative à la phase sécrétoire. La concentration sanguine en phosphore est de 0 à 4,8 nmol/L avant l'ovulation et de 7,6 à 97,6 nmol/L en fin d'ovulation. De faibles valeurs sanguines en phosphore en fin d'ovulation sont observées en cas d'insuffisance lutéale, de saignements utérins dysfonctionnels ovulatoires, etc. 4. Hormone lutéinisante (LH) : hormone glycoprotéique sécrétée par les cellules alcalinophiles de l'hypophyse antérieure. Elle favorise principalement l'ovulation. Sous l'action synergique de la FSH, elle forme un corps jaune et sécrète de la progestérone. La concentration sanguine de LH est de 2 à 15 mUI/ml pendant la période préovulatoire, de 30 à 100 mUI/ml pendant la période ovulatoire et de 4 à 10 mUI/ml pendant la période postovulatoire. La valeur normale pendant la période sans ovulation est généralement de 5 à 25 mUI/ml. Un taux inférieur à 5 mUI/ml indique une insuffisance gonadotrophique, observée dans le syndrome de Sheehan. Si un taux élevé de FSH s'accompagne d'un taux élevé de LH, l'insuffisance ovarienne est très certaine et aucun autre test n'est nécessaire. LH/FSH≥3 est l’une des bases du diagnostic du syndrome des ovaires polykystiques. 5. Prolactine (PRL) : elle est sécrétée par le trophoblaste lactant, l'une des cellules éosinophiles de l'hypophyse antérieure. C'est une hormone protéique simple dont la fonction principale est de favoriser l'hyperplasie mammaire, la production de lait et l'écoulement du lait. Pendant la période hors lactation, la valeur normale de la PRL sanguine est de 0,08 à 0,92 nmol/L. Un taux supérieur à 1,0 nmol/L est appelé hyperprolactinémie. Une prolactine excessive peut inhiber la sécrétion de FSH et de LH, inhiber la fonction ovarienne et inhiber l'ovulation. 6. Hormone folliculo-stimulante (FSH) : hormone glycoprotéique sécrétée par les cellules alcalines de l'hypophyse antérieure. Sa principale fonction est de favoriser le développement et la maturation des follicules ovariens. La concentration sanguine de FSH est de 1,5 à 10 mUI/ml pendant la période pré-ovulation, de 8 à 20 mUI/ml pendant la période ovulation et de 2 à 10 mUI/ml pendant la période post-ovulation. En général, une valeur de 5 à 40 mUI/ml est considérée comme normale. De faibles valeurs de FSH sont observées lors d'un traitement œstroprogestatif, du syndrome de Sheehan, etc. Des niveaux élevés de FSH sont observés en cas d’insuffisance ovarienne prématurée, de syndrome d’insensibilité ovarienne, d’aménorrhée primaire, etc. |
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